Le quotidien national « Libération » titre en première page deux déclarations contradictoires, l’une du Président de la République, il y a un mois pour qui « le chômage va reculer », l’autre du Premier Ministre, hier, qui annonce « le chômage va augmenter ».
Les chiffres et la conjoncture donnent malheureusement raison au second. Cela ne l’exonère pas pour autant car dans sa mission qui consiste à conduire la politique du pays, force est de constater que cette politique est mauvaise.
Les entreprises licencient et les salariés se retrouvent dans des difficultés de plus en plus grandes.
C’est, pour partie, la conséquence de la crise internationale dont nous ne sommes pas encore sortis.
Est-ce que le gouvernement a pris les mesures nécessaires ? Non assurément. Les propositions formulées par les Socialistes, il y a plusieurs mois, qui concernaient à la fois des mesures en faveur de l’investissement mais aussi pour relancer la consommation, auraient eu davantage d’effets.
C’est aussi le résultat des choix retenus par le gouvernement en matière de fiscalité.
Le fameux bouclier fiscal qui protège d’abord les plus favorisés a des effets désastreux car il prive l’Etat, et donc le gouvernement, de moyens financiers importants pour agir.
Ce qui est le plus dommageable, c’est que ce sont les collectivités territoriales, et notamment les départements, qui doivent apporter des réponses aux personnes en difficulté.
Là encore, les choix du gouvernement d’étrangler financièrement les communes, départements et régions sont lourds de conséquences pour les citoyens.
Alors, à qui se fier demandais-je ? A personne, à droite, assurément.
Le rendez-vous du 14 mars prochain doit amener les électeurs et les électrices à voter pour la liste conduite par Daniel PERCHERON et Pierre de SAINTIGNON. Ce sera le meilleur moyen de dire à Messieurs SARKOZY et FILLON : Ça suffit !
Les chiffres et la conjoncture donnent malheureusement raison au second. Cela ne l’exonère pas pour autant car dans sa mission qui consiste à conduire la politique du pays, force est de constater que cette politique est mauvaise.
Les entreprises licencient et les salariés se retrouvent dans des difficultés de plus en plus grandes.
C’est, pour partie, la conséquence de la crise internationale dont nous ne sommes pas encore sortis.
Est-ce que le gouvernement a pris les mesures nécessaires ? Non assurément. Les propositions formulées par les Socialistes, il y a plusieurs mois, qui concernaient à la fois des mesures en faveur de l’investissement mais aussi pour relancer la consommation, auraient eu davantage d’effets.
C’est aussi le résultat des choix retenus par le gouvernement en matière de fiscalité.
Le fameux bouclier fiscal qui protège d’abord les plus favorisés a des effets désastreux car il prive l’Etat, et donc le gouvernement, de moyens financiers importants pour agir.
Ce qui est le plus dommageable, c’est que ce sont les collectivités territoriales, et notamment les départements, qui doivent apporter des réponses aux personnes en difficulté.
Là encore, les choix du gouvernement d’étrangler financièrement les communes, départements et régions sont lourds de conséquences pour les citoyens.
Alors, à qui se fier demandais-je ? A personne, à droite, assurément.
Le rendez-vous du 14 mars prochain doit amener les électeurs et les électrices à voter pour la liste conduite par Daniel PERCHERON et Pierre de SAINTIGNON. Ce sera le meilleur moyen de dire à Messieurs SARKOZY et FILLON : Ça suffit !
