La rentrée est bien derrière nous. Ces quinze derniers jours, période qui a suivi les vacances estivales, ont été riches en événements. L’actualité de ce week-end a mis sous les projecteurs des médias tout ce qui constitue la confrontation entre la Droite et la Gauche dans notre société démocratique : laïcité mise à mal par le chef de l’Etat, partis de gauche en recherche d’une efficacité collective, dysfonctionnements de l’économie mondiale et la liste est loin d’être exhaustive.
Ma préoccupation majeure, après ces quinze premiers jours d’une nouvelle année politique, économique, sociale, c’est de trouver les voies et moyens pour répondre à l’attente de nos concitoyens.
Un responsable politique se doit en permanence de veiller à ce que les décisions qu’il prend par délégation quand il est élu, les propositions qu’il formule, les actions qu’il engage servent d’abord et avant tout les membres de la collectivité à l’organisation de laquelle il participe.
C’est vrai pour le Département et le Conseil Général que je préside.
C’est vrai pour la France où les députés vont devoir prendre des décisions d’importance, qu’il s’agisse de la présence des soldats français en Afghanistan ou de la généralisation du Revenu de Solidarité Active.
C’est vrai pour le Parti Socialiste où la « valse des egos » prend encore trop le pas sur le nécessaire rassemblement dont nous avons besoin.
C’est dire combien je souhaite pour mon Parti cette motion à vocation majoritaire proposée aux militants par celles et ceux qui pensent et disent la même chose, mais qui doivent renvoyer à plus tard leur ambition personnelle, voire renoncer à exercer la fonction de Premier Secrétaire.
Y parviendrons-nous ?
C’est possible si nous le voulons.
Ma préoccupation majeure, après ces quinze premiers jours d’une nouvelle année politique, économique, sociale, c’est de trouver les voies et moyens pour répondre à l’attente de nos concitoyens.
Un responsable politique se doit en permanence de veiller à ce que les décisions qu’il prend par délégation quand il est élu, les propositions qu’il formule, les actions qu’il engage servent d’abord et avant tout les membres de la collectivité à l’organisation de laquelle il participe.
C’est vrai pour le Département et le Conseil Général que je préside.
C’est vrai pour la France où les députés vont devoir prendre des décisions d’importance, qu’il s’agisse de la présence des soldats français en Afghanistan ou de la généralisation du Revenu de Solidarité Active.
C’est vrai pour le Parti Socialiste où la « valse des egos » prend encore trop le pas sur le nécessaire rassemblement dont nous avons besoin.
C’est dire combien je souhaite pour mon Parti cette motion à vocation majoritaire proposée aux militants par celles et ceux qui pensent et disent la même chose, mais qui doivent renvoyer à plus tard leur ambition personnelle, voire renoncer à exercer la fonction de Premier Secrétaire.
Y parviendrons-nous ?
C’est possible si nous le voulons.
