On reproche aux Socialistes de se préoccuper davantage des problèmes de leur Parti que des problèmes des Français.
Ce reproche n’est pas justifié. L’action des Socialistes est forte, là où ils sont en responsabilité. Je l’ai observé hier encore en participant à la Commission des Lois de l’Assemblée Nationale aux auditions des avocats, magistrats, défenseurs des Droits de l’Homme, à propos du fichier EDVIGE.
Le Gouvernement, à travers le décret qu’il a publié début juillet, envisage ni plus ni moins de ficher des millions de Françaises et de Français dont les activités politiques, syndicales, associatives contrarieraient l’action des pouvoirs publics.
Cette approche est pour le moins scandaleuse : les libertés individuelles et collectives sont menacées par une telle initiative.
Les députés socialistes ont défendu pied à pied les grands principes fondamentaux de la Démocratie et de la République. Ils continueront avec détermination jusqu’à obtenir l’abrogation du décret « scélérat ».
Pour autant, je n’oublie pas l’impérieuse nécessité d’un rassemblement du plus grand nombre de Socialistes et de leurs responsables sur un texte de motion à vocation majoritaire si nous voulons que notre action, telle celle que j’évoquais ci-dessus, soit bien relayée par le biais des militants motivés.
La réponse vous appartient.
Ce reproche n’est pas justifié. L’action des Socialistes est forte, là où ils sont en responsabilité. Je l’ai observé hier encore en participant à la Commission des Lois de l’Assemblée Nationale aux auditions des avocats, magistrats, défenseurs des Droits de l’Homme, à propos du fichier EDVIGE.
Le Gouvernement, à travers le décret qu’il a publié début juillet, envisage ni plus ni moins de ficher des millions de Françaises et de Français dont les activités politiques, syndicales, associatives contrarieraient l’action des pouvoirs publics.
Cette approche est pour le moins scandaleuse : les libertés individuelles et collectives sont menacées par une telle initiative.
Les députés socialistes ont défendu pied à pied les grands principes fondamentaux de la Démocratie et de la République. Ils continueront avec détermination jusqu’à obtenir l’abrogation du décret « scélérat ».
Pour autant, je n’oublie pas l’impérieuse nécessité d’un rassemblement du plus grand nombre de Socialistes et de leurs responsables sur un texte de motion à vocation majoritaire si nous voulons que notre action, telle celle que j’évoquais ci-dessus, soit bien relayée par le biais des militants motivés.
La réponse vous appartient.
