Ce dimanche, le Parti Socialiste a rassemblé ses responsables pour analyser la situation politique à quelques semaines du rendez-vous électoral de mars prochain.
Tous ceux qui se sont exprimés ont souligné la nécessité, pour les Socialistes, d’être à l’écoute des préoccupations de nos concitoyens, de faire des propositions et de mener, dans la plus grande cohésion, la bataille électorale municipale et cantonale.
C’est très bien.
Cela n’empêche pas quelques commentateurs de s’interroger sur la valeur de cette cohésion. Je suis toujours surpris de ce comportement qui frise le paradoxe : quand les socialistes, dans leur expression, font apparaître des points de vue différents, ou accuse le Parti Socialiste d’incapacité à se faire entendre.
A l’inverse, quand François HOLLANDE et d’autres responsables vont tous ensemble dans le même sens, les mêmes commentateurs mettent en doute la cohérence du Parti.
Cependant, je ne les entends pas formuler des critiques à l’égard de la droite, lorsqu’il s’agit du même personnage qui déclare à quelques mois d’intervalle une chose et son contraire.
Les annonces de Monsieur SARKOZY à propos du pouvoir d’achat en sont la meilleure illustration.
Tout cela est secondaire.
Ce que je retiens, c’est la volonté partagée par tous les socialistes de proposer à nos concitoyens des politiques municipales et départementales qui corrigeront les inégalités, conséquences de la politique libérale du gouvernement.
Les treize milliards d’euros accordés en juillet dernier aux contribuables les plus favorisés par Messieurs SARKOZY et FILLON alors que dans le même temps les mêmes refusent par exemple d’augmenter les retraites et les salaires des fonctionnaires montrent à l’évidence qu’il ne faut pas attendre du pouvoir en place de solutions aux problèmes de nos concitoyens.
Ces derniers doivent savoir qui répond le mieux à leurs aspirations : les socialistes sont en ordre de marche pour le faire.
Tous ceux qui se sont exprimés ont souligné la nécessité, pour les Socialistes, d’être à l’écoute des préoccupations de nos concitoyens, de faire des propositions et de mener, dans la plus grande cohésion, la bataille électorale municipale et cantonale.
C’est très bien.
Cela n’empêche pas quelques commentateurs de s’interroger sur la valeur de cette cohésion. Je suis toujours surpris de ce comportement qui frise le paradoxe : quand les socialistes, dans leur expression, font apparaître des points de vue différents, ou accuse le Parti Socialiste d’incapacité à se faire entendre.
A l’inverse, quand François HOLLANDE et d’autres responsables vont tous ensemble dans le même sens, les mêmes commentateurs mettent en doute la cohérence du Parti.
Cependant, je ne les entends pas formuler des critiques à l’égard de la droite, lorsqu’il s’agit du même personnage qui déclare à quelques mois d’intervalle une chose et son contraire.
Les annonces de Monsieur SARKOZY à propos du pouvoir d’achat en sont la meilleure illustration.
Tout cela est secondaire.
Ce que je retiens, c’est la volonté partagée par tous les socialistes de proposer à nos concitoyens des politiques municipales et départementales qui corrigeront les inégalités, conséquences de la politique libérale du gouvernement.
Les treize milliards d’euros accordés en juillet dernier aux contribuables les plus favorisés par Messieurs SARKOZY et FILLON alors que dans le même temps les mêmes refusent par exemple d’augmenter les retraites et les salaires des fonctionnaires montrent à l’évidence qu’il ne faut pas attendre du pouvoir en place de solutions aux problèmes de nos concitoyens.
Ces derniers doivent savoir qui répond le mieux à leurs aspirations : les socialistes sont en ordre de marche pour le faire.
