Réagissez !

vendredi 4 décembre 2015

Nous y sommes

Dans moins de quarante huit heures, nous connaîtrons les résultats du premier tour des élections régionales. Dimanche soir nous pourrons analyser les résultats sur des bases réelles et non supputer des hypothèses à partir de sondages.

La politique n’est pas une science exacte. Elle doit d’abord tenir compte des facteurs humains puisque ce sont les hommes et les femmes, jeunes et moins jeunes qui sont directement concernés par l’action politique.

Les électeurs se préparent à désigner des assemblées régionales qui, elles-mêmes, éliront leur président. C’est là que tout commencera véritablement pour les nouvelles régions, leurs élus, leurs compétences.

Bien entendu, les électeurs tiendront compte du bilan de la majorité de gauche sortante. Ce bilan est-il insatisfaisant au point de sanctionner ceux qui l’ont porté au cours du mandat écoulé ? La réponse est non et je n’ai pas entendu la droite républicaine s’en prendre violemment à ce bilan.

Les électeurs regarderont également, je pense, les propositions des candidats.

Chaque liste, à gauche comme à droite, est porteuse d’aspirations ambitieuses pour la Région.

A l’inverse, ce qui m’a frappé dans la circulaire électorale de la fasciste Le Pen, c’est la faiblesse des actions envisagées, tant sur le plan quantitatif que qualitatif.

Enfin, les citoyens qui voteront seront forcément influencés par le contexte.

Or, si l’on regarde objectivement la situation nationale et internationale on doit se dire la chance que nous avons d’avoir à la tête de notre pays un homme comme François Hollande.

Il aura su placer la France au premier rang des pays du monde engagés dans la lutte pour la sauvegarde de la planète.

Certes, la COP21 n’est pas terminée et on ne peut pas préjuger de ses résultats finaux.

Cependant, le simple fait qu’elle ait rassemblé à Paris les Chefs d’Etats et de Gouvernement de la planète toute entière est en soi un succès.

Par ailleurs, les actions engagées au lendemain des attentats terroristes du 13 novembre ont permis de mesurer la capacité du Président de la République de conduire notre pays dans l’Union Nationale et d’assurer notre sécurité.

Il reste moins de quarante huit heures écrivais-je au début de mon propos.

Je souhaite que ce délai soit utile au triomphe des valeurs républicaines.