La prestation télévisée de Jean-Marc Ayrault m’a conforté dans l’idée que le choix de François Hollande a été le bon.
Pour le journal « Libération », le Premier Ministre aurait « défendu son poste ». Connaissant l’intéressé pour l’avoir côtoyé pendant plusieurs années à l’Assemblée Nationale, je suis convaincu que Jean-Marc Ayrault défend d’abord la politique définie par François Hollande pendant la campagne et approuvée par une majorité de Français.
Cette politique est claire et il faut avoir l’esprit tordu des porte-parole de la Droite ou de quelques commentateurs pour ne pas tenir compte de la réalité de la situation et se complaire dans la critique et le dénigrement.
La France et les Français subissent de plein fouet les effets d’une crise dont ils ne sont pas responsables.
Il faut, malgré cette crise, se donner les moyens de préparer l’avenir de notre pays.
Le budget 2013 soumis au Conseil des Ministres aujourd’hui, examiné par le Parlement dans quelques jours, fera apparaître les points forts de cette politique de redressement indispensable.
Ce sera dur, personne n’en doute. Il faudra un minimum de temps pour mesurer les effets des décisions d’aujourd’hui. Ces décisions engageront le changement annoncé au printemps dernier.
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Au plan local, j’ai assisté hier soir à l’élection de Frédéric Marchand comme Maire d’Hellemmes.
Une nouvelle page de l’histoire de ma commune commence à s’écrire.
Le choix des hommes ou des femmes est un exercice difficile. On ne sait jamais si ce choix sera le bon. C’est encore plus vrai quand on inscrit ce choix dans la préparation de l’avenir comme cela a toujours constitué ma ligne d’action.
En 1982, Gilles Pargneaux, en 1997, Frédéric Marchand et avec eux quelques autres, hommes ou femmes, m’ont accompagné dans mes responsabilités. Pendant que je les exerçais, j’ai toujours été en symbiose avec celles et ceux que j’avais choisis.
Aujourd’hui, pour le nouveau Maire d’Hellemmes, l’heure est venue d’agir en pleine responsabilité. Je lui souhaite une complète réussite.
