Des activités parlementaires nombreuses et très prenantes et le pont de la Toussaint, en début de semaine, ne m’ont pas laissé le temps nécessaire à la rédaction d’un billet de blog.
Pourtant, les événements traversés ont été d’importance et le sont encore à ce jour.
Au premier rang d’entre eux, je mettrai bien entendu la crise monétaire et financière qui pèse sur le monde. Ses conséquences pour l’Europe et plusieurs de ses Etats membres sont lourdes.
En France, un nouveau plan d’austérité va une nouvelle fois traduire la gestion injuste de cette situation qui pèsera beaucoup plus lourdement sur nos concitoyens les moins favorisés.
Pour ne pas avoir pris les mesures qui s’imposaient il y a 18 mois, les dirigeants européens, et notamment M. Sarkozy, ont laissé la situation se dégrader. Aujourd’hui encore, les mesures envisagées par le gouvernement ne sont pas à la hauteur des enjeux d’avenir pour notre pays. Une nouvelle fois, on improvise.
Quand va-t-on cesser de ne pas entendre la voix des Françaises et des Français ?
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J’évoquais les activités parlementaires de ces derniers jours.
Plus tard je reviendrai plus longuement sur les travaux de la commission d’enquête sur les emprunts toxiques à laquelle je participe.
Les auditions auxquelles nous procédons me permettent de mieux cerner les responsabilités.
A chaque fois, je me réjouis de ne pas avoir entraîné le Département du Nord dans ce genre d’emprunts qui placent aujourd’hui les élus locaux concernés dans une situation difficile.
Par ailleurs, le budget de la Fonction Publique , celui de la Sécurité Civile ou celui des Collectivités Territoriales m’ont amené, lors de mes interventions, à insister sur la nécessité de défendre les services publics concernés, leurs usagers et les personnes qui en assurent le bon fonctionnement.
C’est ainsi dans ce travail parlementaire que je cherche à répondre à l’attente de mes concitoyens.
