Un sondage publié hier fait apparaître le souhait de 62 % des personnes interrogées de connaître le candidat socialiste à l’élection présidentielle de 2012 avant l’été 2011.
Je disais vendredi dernier que les sondages alimentent la réflexion des responsables politiques. Celui que j’évoque ici en est un bon exemple. Il me semble qu’il devrait inspirer la direction du Parti Socialiste qui doit se pencher très prochainement sur cette question du calendrier.
Nous aurons un adversaire. Il est identifié et nous connaissons les moyens qu’il utilisera.
Ce sera vraisemblablement M. Sarkozy. Si ça n’était pas le cas, tout autre candidat de droite fera usage des mêmes arguments pour décrédibiliser les propositions du candidat de gauche.
Mais nous aurons aussi des concurrents au premier tour.
Parmi ceux-ci, les écolos ne manqueront pas de marquer leur différence avec les Socialistes en dénonçant parfois vivement nos positions. Le fait de ne pas présenter de candidat socialiste dans certaines circonscriptions pour leur permettre d’avoir des députés ou de les faire figurer dans nos listes pour qu’ils aient des sénateurs devrait les amener à plus de neutralité à notre égard.
Toujours est-il que le problème demeure posé : le moment de la désignation du candidat socialiste sera déterminant pour créer les conditions de la victoire.
A nous, collectivement, de ne pas nous priver de cette victoire. Elle est une impérieuse nécessité pour la France et pour les Français.
Je disais vendredi dernier que les sondages alimentent la réflexion des responsables politiques. Celui que j’évoque ici en est un bon exemple. Il me semble qu’il devrait inspirer la direction du Parti Socialiste qui doit se pencher très prochainement sur cette question du calendrier.
Nous aurons un adversaire. Il est identifié et nous connaissons les moyens qu’il utilisera.
Ce sera vraisemblablement M. Sarkozy. Si ça n’était pas le cas, tout autre candidat de droite fera usage des mêmes arguments pour décrédibiliser les propositions du candidat de gauche.
Mais nous aurons aussi des concurrents au premier tour.
Parmi ceux-ci, les écolos ne manqueront pas de marquer leur différence avec les Socialistes en dénonçant parfois vivement nos positions. Le fait de ne pas présenter de candidat socialiste dans certaines circonscriptions pour leur permettre d’avoir des députés ou de les faire figurer dans nos listes pour qu’ils aient des sénateurs devrait les amener à plus de neutralité à notre égard.
Toujours est-il que le problème demeure posé : le moment de la désignation du candidat socialiste sera déterminant pour créer les conditions de la victoire.
A nous, collectivement, de ne pas nous priver de cette victoire. Elle est une impérieuse nécessité pour la France et pour les Français.
