Noël, c’est dans deux jours.
Demain soir, les enfants piafferont d’impatience dans l’attente des cadeaux du Père Noël. Les adultes ne seront pas en reste.
Pas tout le monde, malheureusement, et en tous cas, pas celles et ceux de nos concitoyens, jeunes ou moins jeunes, pour qui des moyens de vivre décemment n’existent pas.
Il ne s’agit pas de tomber dans un misérabilisme de mauvais aloi ou de se donner bonne conscience en évoquant cette situation au détour d’un blog.
Il s’agit simplement de se rappeler encore et toujours que l’action politique n’a de sens que si elle contribue à améliorer la situation de ceux qui aspirent à davantage de bien-être.
Certes, cela passe par une organisation de la vie collective qui elle-même découle, dans une Démocratie, de la volonté de la majorité.
C’est dire qu’il ne faut pas se priver des moyens d’influencer cette organisation collective, en un mot, cette politique.
Chaque année, à cette même période, nous entrons dans ce qu’on appelle « la trêve des confiseurs ». Que ce moment soit mis à profit pour que toutes celles et tous ceux qui exercent des responsabilités s’interrogent sur le sens de leur action et de leurs décisions.
« Ai-je agi, ai-je décidé pour satisfaire l’intérêt général ou ne l’ai-je fait que pour satisfaire ma seule ambition personnelle » ?
Cette question est à poser en permanence. Elle l’est davantage encore en cette période.
Bon Noël. Bonne fin d’année. Bonne année 2011 à toutes celles et tous ceux qui lisent mon « blog ».
Demain soir, les enfants piafferont d’impatience dans l’attente des cadeaux du Père Noël. Les adultes ne seront pas en reste.
Pas tout le monde, malheureusement, et en tous cas, pas celles et ceux de nos concitoyens, jeunes ou moins jeunes, pour qui des moyens de vivre décemment n’existent pas.
Il ne s’agit pas de tomber dans un misérabilisme de mauvais aloi ou de se donner bonne conscience en évoquant cette situation au détour d’un blog.
Il s’agit simplement de se rappeler encore et toujours que l’action politique n’a de sens que si elle contribue à améliorer la situation de ceux qui aspirent à davantage de bien-être.
Certes, cela passe par une organisation de la vie collective qui elle-même découle, dans une Démocratie, de la volonté de la majorité.
C’est dire qu’il ne faut pas se priver des moyens d’influencer cette organisation collective, en un mot, cette politique.
Chaque année, à cette même période, nous entrons dans ce qu’on appelle « la trêve des confiseurs ». Que ce moment soit mis à profit pour que toutes celles et tous ceux qui exercent des responsabilités s’interrogent sur le sens de leur action et de leurs décisions.
« Ai-je agi, ai-je décidé pour satisfaire l’intérêt général ou ne l’ai-je fait que pour satisfaire ma seule ambition personnelle » ?
Cette question est à poser en permanence. Elle l’est davantage encore en cette période.
Bon Noël. Bonne fin d’année. Bonne année 2011 à toutes celles et tous ceux qui lisent mon « blog ».
