« Le PS peut-il encore gagner l’élection présidentielle de 2012 ? ». A cette question, thème du débat organisé à l’Institut d’Etudes Politiques de Lille avec François HOLLANDE, la réponse est forcément oui.
Cela ne signifie pas que toutes les conditions sont remplies.
Le fait que ce rendez-vous n’aura lieu que dans deux ans n’est pas négligeable.
D’abord, il signifie que M. SARKOZY dirige la politique de la France depuis déjà trois ans. Quand on mesure les effets (j’allais dire les méfaits) de cette politique sur la vie des Français, il ne fait pas de doute que nos concitoyens qui n’en peuvent plus, n’aspireront plus qu’à changer.
D’ailleurs, nous mesurerons cette intention de sanction vis-à-vis de la droite dans un peu plus de 4 semaines, à l’occasion des élections régionales.
Cela ne suffirait pas si nous n’avons pas des propositions qui répondent aux préoccupations des Français. Le Parti Socialiste, sous l’impulsion de sa Première Secrétaire, Martine AUBRY, montrera par son projet, sa volonté de changement radical dans tous les domaines qui concernent nos concitoyens : emploi, logement, protection sociale, retraites, formation et la liste n’est pas exhaustive.
Enfin, il faudra que celui ou celle qui sera candidat ou candidate représente pour les Français la personne capable de diriger notre pays.
On voit bien que cette dernière condition est d’une grande importance. Malgré toutes les richesses humaines qui constituent le Parti Socialiste et la gauche, les responsables politiques, qui sont susceptibles d’exercer cette fonction de Président de la République ne sont pas nombreux.
Les militants socialistes d’abord, mais aussi les électrices et les électeurs de gauche qui le souhaiteraient, sauront faire le bon choix, si des « primaires » sont organisées de façon satisfaisante.
Mais pour « gagner », car telle était la question, ce choix, cette désignation ne doivent pas, ne peuvent pas intervenir trop tard. Il faudra en effet un temps suffisamment long pour convaincre les Françaises et les Français que le PS et la gauche peuvent gagner l’élection présidentielle de 2012.
Cela ne signifie pas que toutes les conditions sont remplies.
Le fait que ce rendez-vous n’aura lieu que dans deux ans n’est pas négligeable.
D’abord, il signifie que M. SARKOZY dirige la politique de la France depuis déjà trois ans. Quand on mesure les effets (j’allais dire les méfaits) de cette politique sur la vie des Français, il ne fait pas de doute que nos concitoyens qui n’en peuvent plus, n’aspireront plus qu’à changer.
D’ailleurs, nous mesurerons cette intention de sanction vis-à-vis de la droite dans un peu plus de 4 semaines, à l’occasion des élections régionales.
Cela ne suffirait pas si nous n’avons pas des propositions qui répondent aux préoccupations des Français. Le Parti Socialiste, sous l’impulsion de sa Première Secrétaire, Martine AUBRY, montrera par son projet, sa volonté de changement radical dans tous les domaines qui concernent nos concitoyens : emploi, logement, protection sociale, retraites, formation et la liste n’est pas exhaustive.
Enfin, il faudra que celui ou celle qui sera candidat ou candidate représente pour les Français la personne capable de diriger notre pays.
On voit bien que cette dernière condition est d’une grande importance. Malgré toutes les richesses humaines qui constituent le Parti Socialiste et la gauche, les responsables politiques, qui sont susceptibles d’exercer cette fonction de Président de la République ne sont pas nombreux.
Les militants socialistes d’abord, mais aussi les électrices et les électeurs de gauche qui le souhaiteraient, sauront faire le bon choix, si des « primaires » sont organisées de façon satisfaisante.
Mais pour « gagner », car telle était la question, ce choix, cette désignation ne doivent pas, ne peuvent pas intervenir trop tard. Il faudra en effet un temps suffisamment long pour convaincre les Françaises et les Français que le PS et la gauche peuvent gagner l’élection présidentielle de 2012.
