Nous vivons une semaine riche en événements d’importance pour la France et nos concitoyens.
Cet après-midi, je serai à mon banc, à l’Assemblée Nationale, pour voter la motion de censure puis, quelques temps plus tard, contre la loi privant le Parlement de ses droits démocratiques fondamentaux.
Ces deux votes sont étroitement liés : en censurant le gouvernement, les députés montreront aux Français qu’ils s’opposent à la politique conduite par Messieurs Sarkozy et Fillon. En même temps, ils proposeront une solution alternative face aux conséquences de la crise qui frappent chaque jour davantage d’hommes et de femmes dans notre pays.
Par ailleurs, en votant contre la loi liberticide qui condamne le Parlement à un rôle de chambre d’enregistrement de la seule volonté présidentielle, les Socialistes rappelleront leur attachement indéfectible à la démocratie et à la liberté.
Certes, le fait majoritaire qui résulte de nos institutions amènera une majorité de députés à ne pas censurer le gouvernement et à accepter de se laisser priver de ses droits d’expression.
Nous aurons cependant témoigné de notre détermination. La bataille politique n’est pas finie. Elle va se poursuivre au Sénat et avec l’opinion.
Ce sera notamment le sens de ma présence parmi les manifestants de Jeudi. Il faut que les Français soient nombreux à dire : ça suffit !
Cet après-midi, je serai à mon banc, à l’Assemblée Nationale, pour voter la motion de censure puis, quelques temps plus tard, contre la loi privant le Parlement de ses droits démocratiques fondamentaux.
Ces deux votes sont étroitement liés : en censurant le gouvernement, les députés montreront aux Français qu’ils s’opposent à la politique conduite par Messieurs Sarkozy et Fillon. En même temps, ils proposeront une solution alternative face aux conséquences de la crise qui frappent chaque jour davantage d’hommes et de femmes dans notre pays.
Par ailleurs, en votant contre la loi liberticide qui condamne le Parlement à un rôle de chambre d’enregistrement de la seule volonté présidentielle, les Socialistes rappelleront leur attachement indéfectible à la démocratie et à la liberté.
Certes, le fait majoritaire qui résulte de nos institutions amènera une majorité de députés à ne pas censurer le gouvernement et à accepter de se laisser priver de ses droits d’expression.
Nous aurons cependant témoigné de notre détermination. La bataille politique n’est pas finie. Elle va se poursuivre au Sénat et avec l’opinion.
Ce sera notamment le sens de ma présence parmi les manifestants de Jeudi. Il faut que les Français soient nombreux à dire : ça suffit !
