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vendredi 7 février 2014

Préoccupations

Nombreux sont les sujets de préoccupations qui retiennent mon attention en cette fin de semaine.

Au plan international, l’ouverture des Jeux Olympiques d’hiver met les projecteurs sur la méthode de gouvernement quasi-dictatoriale des dirigeants russes. Dans ce pays, et près de vingt cinq ans après la chute du mur de Berlin, beaucoup reste à faire pour que la Démocratie et les libertés soient une réalité.

En Centrafrique, c’est la terreur qui continue de régner. Les crimes qu’elle engendre témoignent des limites d’une volonté politique internationale dans laquelle la France joue un rôle important.

Au plan national, les sujets ne manquent pas qui marquent les difficultés de l’action gouvernementale.

La théorie du genre, la PMA, la famille, la diminution des dépenses publiques, la fiscalité et beaucoup d’autres questions trouveraient facilement une réponse politique démocratique si la crise ne pesait pas sur notre vie quotidienne, avec toutes ses incertitudes à l’origine de nos inquiétudes.

Le gouvernement s’emploie à calmer le jeu et consacre l’essentiel de son action à la lutte contre le chômage. Les Français devraient lui en savoir gré.

Au plan local, dans toutes les communes de France, les listes des candidats aux élections municipales sont présentées.

N’étant plus directement acteur puisque je n’ai plus de mandat électif et que je ne prétends pas en solliciter, je demeure un observateur attentif. Je ne suis pas toujours satisfait de ce qui se passe dans ma famille politique, le Parti Socialiste, surtout lorsque nos règles ne sont pas respectées.

La force du P.S., c’est son fonctionnement démocratique. Ce sont les membres du parti qui désignent leurs candidats. Transgresser ce principe fondamental n’est pas acceptable pour le militant de longue date que je suis.