Le Parti Socialiste s’engage dans une nouvelle étape de la préparation du Congrès de Reims.
A la phase du débat sur les contributions succède la phase du dépôt des motions. Ce sont sur ces derniers textes que les adhérents du Parti Socialiste auront à se prononcer par un vote qui se déroulera le 6 novembre prochain.
Le Congrès lui même se tiendra les 14, 15 et 16 novembre et les militants voteront ensuite pour élire le Premier secrétaire du Parti le 20 novembre.
Lors de la phase des contributions, je me suis engagé sur le texte soutenu par la Fédération du Nord qui aurait pu être un élément constitutif d’un large rassemblement permettant l’émergence d’une motion à vocation majoritaire fédérant les principales sensibilités du Parti Socialiste.
Je n’ai cessé depuis d’appeler de mes vœux ce large rassemblement et d’œuvrer en ce sens.
Il est profondément regrettable que l’enjeu de la désignation du futur Premier secrétaire et la perspective du choix de notre candidat à l’élection présidentielle aient pris le pas sur la nécessaire cohésion des Socialistes.
Comme beaucoup de militants, je suis inquiet des divisions et des fractures qui risquent désormais de peser sur la préparation du Congrès de Reims. J’ai en mémoire les conséquences durables et funestes du Congrès de Rennes de 1990 et je ne peux envisager une telle issue en 2008.
Par ailleurs, je refuse de m’associer à la critique de l’action que mène notre Premier secrétaire François Hollande depuis 10 ans, action que des signataires de différentes motions ont soutenue. Il a garanti la cohésion des Socialistes durant cette période difficile pour la gauche, assuré de belles victoires (régionales et cantonales 2004, européennes 2004, municipales et cantonales 2008, sénatoriales 2004 et 2008) et permis le renforcement significatif du groupe Socialiste à l’Assemblée nationale lors des législatives de 2007.
C’est pourquoi, j’ai décidé de continuer à œuvrer au rassemblement des Socialistes et de ne pas m’inscrire dans un débat entre des motions, dont la proximité du contenu de la plupart d’entre elles ne justifie pas la division des Socialistes.
Je ne signerai donc aucune des motions présentées dans le cadre de la préparation du Congrès de Reims et je continuerai à réclamer la synthèse qui ne s’est pas faite avant, pour que le Congrès la permette.
A la phase du débat sur les contributions succède la phase du dépôt des motions. Ce sont sur ces derniers textes que les adhérents du Parti Socialiste auront à se prononcer par un vote qui se déroulera le 6 novembre prochain.
Le Congrès lui même se tiendra les 14, 15 et 16 novembre et les militants voteront ensuite pour élire le Premier secrétaire du Parti le 20 novembre.
Lors de la phase des contributions, je me suis engagé sur le texte soutenu par la Fédération du Nord qui aurait pu être un élément constitutif d’un large rassemblement permettant l’émergence d’une motion à vocation majoritaire fédérant les principales sensibilités du Parti Socialiste.
Je n’ai cessé depuis d’appeler de mes vœux ce large rassemblement et d’œuvrer en ce sens.
Il est profondément regrettable que l’enjeu de la désignation du futur Premier secrétaire et la perspective du choix de notre candidat à l’élection présidentielle aient pris le pas sur la nécessaire cohésion des Socialistes.
Comme beaucoup de militants, je suis inquiet des divisions et des fractures qui risquent désormais de peser sur la préparation du Congrès de Reims. J’ai en mémoire les conséquences durables et funestes du Congrès de Rennes de 1990 et je ne peux envisager une telle issue en 2008.
Par ailleurs, je refuse de m’associer à la critique de l’action que mène notre Premier secrétaire François Hollande depuis 10 ans, action que des signataires de différentes motions ont soutenue. Il a garanti la cohésion des Socialistes durant cette période difficile pour la gauche, assuré de belles victoires (régionales et cantonales 2004, européennes 2004, municipales et cantonales 2008, sénatoriales 2004 et 2008) et permis le renforcement significatif du groupe Socialiste à l’Assemblée nationale lors des législatives de 2007.
C’est pourquoi, j’ai décidé de continuer à œuvrer au rassemblement des Socialistes et de ne pas m’inscrire dans un débat entre des motions, dont la proximité du contenu de la plupart d’entre elles ne justifie pas la division des Socialistes.
Je ne signerai donc aucune des motions présentées dans le cadre de la préparation du Congrès de Reims et je continuerai à réclamer la synthèse qui ne s’est pas faite avant, pour que le Congrès la permette.
