La crise qui frappe l’économie de plusieurs pays comme les Etats-Unis ou la Grande-Bretagne, qui n’épargne pas la France, est assurément l’élément le plus préoccupant du contexte politique du moment.
Le discours incantatoire de Monsieur SARKOZY à Toulon n’y changera rien. Ce seront malheureusement les personnes les plus en difficulté aujourd’hui qui auront à en pâtir.
La preuve nous en est donnée par l’augmentation significative du nombre de demandeurs d’emploi au cours du mois écoulé.
Le Gouvernement en appelle à « l’unité nationale ». De qui se moque-t-on ? Monsieur FILLON voudrait que la gauche et les Socialistes apportent leur soutien à la mauvaise politique qu’il mène depuis six ans, lui et ses prédécesseurs. Pire, les mesures prises par le Gouvernement tel le bouclier fiscal, aggravent encore les conséquences de cette politique inégalitaire et injuste.
Le discours incantatoire de Monsieur SARKOZY à Toulon n’y changera rien. Ce seront malheureusement les personnes les plus en difficulté aujourd’hui qui auront à en pâtir.
La preuve nous en est donnée par l’augmentation significative du nombre de demandeurs d’emploi au cours du mois écoulé.
Le Gouvernement en appelle à « l’unité nationale ». De qui se moque-t-on ? Monsieur FILLON voudrait que la gauche et les Socialistes apportent leur soutien à la mauvaise politique qu’il mène depuis six ans, lui et ses prédécesseurs. Pire, les mesures prises par le Gouvernement tel le bouclier fiscal, aggravent encore les conséquences de cette politique inégalitaire et injuste.
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C’est dans ce contexte que le Parti Socialiste prépare son congrès. Ce que je craignais la semaine dernière, au moment de la présentation des 6 motions, se réalise malheureusement.
Les petites phrases, les insinuations, les attaques de tel responsable vis à vis de tel autre fleurissent à longueur de communiqués et de déclarations.
Les militants du PS sont capables d’apprécier le bien-fondé de telle ou telle méthode de communication.
Ils n’oublient pas, j’en suis sûr, qu’à la fin du débat sur les motions, nous avons l’impérieux devoir de nous rassembler sur un texte majoritaire qui fixera l’orientation du Parti.
Alors, que l’on nous montre les différences !
Il n’y en a pas ou, s’il en est, elles sont mineures. Le débat sur les personnes risque de prendre le pas sur celui des idées. Evitons cela.
