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mardi 12 juillet 2011

De l'empathie.

Depuis ce mardi, à 13h30, FRANCOIS HOLLANDE est officiellement candidat à l'élection présidentielle de 2012.

J'étais présent à la Maison de l'Amérique latine quand il a prononcé son discours de présidentiable.

Rien ne manquait, ni dans la forme ni dans le fond. Le ton employé était celui d'un homme déterminé dont le seul objectif est de donner à la France un Président digne de ce nom.

Les thèmes retenus, la jeunesse et la réforme de la fiscalité, lui ont permis, en quelques mots, de jeter les bases des propositions qu'il convient de présenter aux Françaises et aux Français en cette période d'interrogations multiples.

Bien sûr, il importe que FRANCOIS HOLLANDE soit désigné par celles et ceux qui participeront aux "Pimaires" le 9 octobre prochain. C'est la condition préalable et je n'en méconnais pas l'importance. Il appartiendra aux électrices et électeurs de ces "Primaires" de dire par leur vote, qui est le plus à même de rassembler toute la Gauche, de recueillir les suffrages au-delà de cet électorat, d'affronter le candidat de la Droite, Monsieur SARKOZY, qui ne manquera pas de recourir à des arguments démagogiques.

Parmi les candidatures annoncées, celles de deux ou trois de mes amis politiques correspondent à ce profilage.

Il faudra également créer les conditions de l'empathie indispensable entre le candidat et les Français pour gagner cette élection.

Moi, je trouve que cette empathie existe bel et bien quand il s'agit de FRANCOIS HOLLANDE.