Vendredi dernier, nous avons marqué le 20ème anniversaire du Conseil Départemental des Jeunes que j’avais créé en 1990, par une soirée festive particulièrement réussie.
Ce fut l’occasion de souligner l’importance de ce lieu extraordinaire d’apprentissage de la citoyenneté que constitue ce CDJ.
Notre priorité collective est en effet de préparer les plus jeunes de nos concitoyens à exercer leur rôle dans la société dont ils auront la responsabilité.
Cela signifie que les responsables politiques d’aujourd’hui, à tous les niveaux, doivent décider des moyens à mettre en œuvre en direction de la jeunesse.
La politique familiale, celle de la santé, du logement, de l’éducation et de la formation, du sport, de la culture sont concernées et, d’une manière générale, tout ce qui contribue à notre vie collective.
C’est pourquoi on ne peut que condamner le renoncement de la part du gouvernement SARKOZY-FILLON à mettre en œuvre des moyens suffisants pour chacune de ces politiques.
Le seul argument avancé demeure, depuis huit ans, la volonté de diminuer les dépenses publiques.
Prenons l’enseignement par exemple. Au moment où la population scolaire augmente légèrement dans les collèges, après quelques années de baisses successives, le gouvernement continue d’annoncer des suppressions de postes d’enseignants pour la rentrée prochaine.
Cette position idéologique de la Droite est lourde de conséquences pour notre jeunesse et donc pour notre pays. Il est impératif de redonner espoir aux jeunes et, partant de là, à leurs parents. Ils doivent sentir qu’ils ont leur place, toute leur place dans la société.
Ce fut l’occasion de souligner l’importance de ce lieu extraordinaire d’apprentissage de la citoyenneté que constitue ce CDJ.
Notre priorité collective est en effet de préparer les plus jeunes de nos concitoyens à exercer leur rôle dans la société dont ils auront la responsabilité.
Cela signifie que les responsables politiques d’aujourd’hui, à tous les niveaux, doivent décider des moyens à mettre en œuvre en direction de la jeunesse.
La politique familiale, celle de la santé, du logement, de l’éducation et de la formation, du sport, de la culture sont concernées et, d’une manière générale, tout ce qui contribue à notre vie collective.
C’est pourquoi on ne peut que condamner le renoncement de la part du gouvernement SARKOZY-FILLON à mettre en œuvre des moyens suffisants pour chacune de ces politiques.
Le seul argument avancé demeure, depuis huit ans, la volonté de diminuer les dépenses publiques.
Prenons l’enseignement par exemple. Au moment où la population scolaire augmente légèrement dans les collèges, après quelques années de baisses successives, le gouvernement continue d’annoncer des suppressions de postes d’enseignants pour la rentrée prochaine.
Cette position idéologique de la Droite est lourde de conséquences pour notre jeunesse et donc pour notre pays. Il est impératif de redonner espoir aux jeunes et, partant de là, à leurs parents. Ils doivent sentir qu’ils ont leur place, toute leur place dans la société.
C’est ce que je voulais, il y a vingt ans en créant le CDJ du Nord. C’est ce que je veux plus que jamais aujourd’hui. Les engagements que je soumets au Conseil général et qui concernent la jeunesse vont dans ce sens.
