Je dénonçais jeudi la démagogie outrancière qui caractérise l’action du gouvernement SARKOZY – FILLON.
Elle a pris une dimension plus grande encore avec la position du ministre HORTEFEUX qui, sans aucun respect de nos institutions républicaines, utilise un fait divers pour servir sa politique de stigmatisation de certaines pratiques religieuses et culturelles.
Qu’on ne se méprenne pas : je suis hostile au port de ces éléments vestimentaires qui ont forcément pour conséquence l’aliénation de la femme.
Ma réaction vise à dénoncer un mode d’action gouvernementale contraire à la démocratie républicaine. J’ai de plus en plus la conviction qu’une partie importante de la Droite n’est pas républicaine.
Je le savais pour l’extrême-droite. J’observe que cet état d’esprit gagne du terrain dans les rangs du gouvernement et de la majorité parlementaire.
Je mesure la gravité de ma dénonciation. J’entends d’ici tel ou tel responsable de la Droite crier haut et fort son attachement à la République.
Je le croirai bien volontiers si, dans le même temps, il dénonce les initiatives du renégat BESSON et les propos du féal HORTEFEUX.
Il ne fait pas de doute que M. SARKOZY et ceux qui l’accompagnent n’ont désormais plus qu’un seul objectif : récupérer l’électorat d’extrême-droite qui l’avait soutenu en 2007 mais qui lui a fait défaut aux élections régionales.
Ça continue, ai-je dit. Il faut pourtant que cela cesse.
Elle a pris une dimension plus grande encore avec la position du ministre HORTEFEUX qui, sans aucun respect de nos institutions républicaines, utilise un fait divers pour servir sa politique de stigmatisation de certaines pratiques religieuses et culturelles.
Qu’on ne se méprenne pas : je suis hostile au port de ces éléments vestimentaires qui ont forcément pour conséquence l’aliénation de la femme.
Ma réaction vise à dénoncer un mode d’action gouvernementale contraire à la démocratie républicaine. J’ai de plus en plus la conviction qu’une partie importante de la Droite n’est pas républicaine.
Je le savais pour l’extrême-droite. J’observe que cet état d’esprit gagne du terrain dans les rangs du gouvernement et de la majorité parlementaire.
Je mesure la gravité de ma dénonciation. J’entends d’ici tel ou tel responsable de la Droite crier haut et fort son attachement à la République.
Je le croirai bien volontiers si, dans le même temps, il dénonce les initiatives du renégat BESSON et les propos du féal HORTEFEUX.
Il ne fait pas de doute que M. SARKOZY et ceux qui l’accompagnent n’ont désormais plus qu’un seul objectif : récupérer l’électorat d’extrême-droite qui l’avait soutenu en 2007 mais qui lui a fait défaut aux élections régionales.
Ça continue, ai-je dit. Il faut pourtant que cela cesse.
