Au moment d’écrire, je m’interroge sur l’importance des sujets d’actualité qui justifieraient un commentaire de ma part.
Il y en a tant et tant.
Bien sûr, le plan de relance annoncé hier par le Président de la République fait partie des sujets développés aujourd’hui par les journalistes. Qu’en dire de plus, vingt quatre heures plus tard ? Il est clair que le « Président du pouvoir d’achat » ne suggère qu’une superposition de mesures destinées aux entreprises sans fixer une ligne directrice claire et cohérente qui redonnerait confiance à nos concitoyens.
Bien sûr, il y a l’incertitude institutionnelle dans laquelle le même Président de la République a plongé les élus locaux et les populations de nos communes, départements et régions à travers sa volonté de réformer à tous vents, même ce qui fonctionne bien.
J’ai pu, devant le Comité Balladur qui souhaitait m’entendre, développer plusieurs arguments pour suggérer que si, simplification il devait y avoir, ça n’était pas forcément par la disparition des Départements et des assemblées départementales démocratiquement élues que l’on répondrait à cette nécessité.
Bien sûr, il y a le Parti Socialiste qui va se doter d’une direction renouvelée, sinon nouvelle, sur proposition de Martine Aubry. Peu importe les hommes et les femmes qui décrocheront un titre. Ce qui compte d’abord c’est que cette équipe place le Parti en situation de reconquête de l’opinion.
C’est possible. Nous réussissons au plan local. Nous réussissons dans notre opposition au gouvernement à l’Assemblée Nationale par exemple en regard du projet de loi relatif à la télévision.
Pourquoi n’en serait-il pas de même sur toutes les questions qui intéressent les Français ?
Il y en a tant et tant.
Bien sûr, le plan de relance annoncé hier par le Président de la République fait partie des sujets développés aujourd’hui par les journalistes. Qu’en dire de plus, vingt quatre heures plus tard ? Il est clair que le « Président du pouvoir d’achat » ne suggère qu’une superposition de mesures destinées aux entreprises sans fixer une ligne directrice claire et cohérente qui redonnerait confiance à nos concitoyens.
Bien sûr, il y a l’incertitude institutionnelle dans laquelle le même Président de la République a plongé les élus locaux et les populations de nos communes, départements et régions à travers sa volonté de réformer à tous vents, même ce qui fonctionne bien.
J’ai pu, devant le Comité Balladur qui souhaitait m’entendre, développer plusieurs arguments pour suggérer que si, simplification il devait y avoir, ça n’était pas forcément par la disparition des Départements et des assemblées départementales démocratiquement élues que l’on répondrait à cette nécessité.
Bien sûr, il y a le Parti Socialiste qui va se doter d’une direction renouvelée, sinon nouvelle, sur proposition de Martine Aubry. Peu importe les hommes et les femmes qui décrocheront un titre. Ce qui compte d’abord c’est que cette équipe place le Parti en situation de reconquête de l’opinion.
C’est possible. Nous réussissons au plan local. Nous réussissons dans notre opposition au gouvernement à l’Assemblée Nationale par exemple en regard du projet de loi relatif à la télévision.
Pourquoi n’en serait-il pas de même sur toutes les questions qui intéressent les Français ?
