Dimanche après-midi, j’ai accueilli à Orly une délégation de six députés algériens que j’ai invitée en tant que Président du groupe d’amitié France-Algérie à l’Assemblée Nationale.
Pendant une semaine, nous examinerons ensemble tout ce qui concerne les P.M.E. – P.M.I., leur rôle, leurs problèmes, la place qu’elles occupent dans l’économie française.
Mes collègues députés algériens ont également souhaité aborder la question de la circulation des personnes entre nos deux pays.
Paradoxalement, ni le ministre de l’immigration, de l’intégration, de l’identité nationale, ni un collaborateur de son cabinet n’ont pu se rendre libres pour rencontrer mes invités.
On mesure ainsi la mauvaise conscience de ces personnes en regard de la situation créée par la France vis-à-vis des étrangers.
Il est nécessaire que le gouvernement manifeste une volonté plus forte de renforcement des relations entre la France et l’Algérie.
Pendant une semaine, nous examinerons ensemble tout ce qui concerne les P.M.E. – P.M.I., leur rôle, leurs problèmes, la place qu’elles occupent dans l’économie française.
Mes collègues députés algériens ont également souhaité aborder la question de la circulation des personnes entre nos deux pays.
Paradoxalement, ni le ministre de l’immigration, de l’intégration, de l’identité nationale, ni un collaborateur de son cabinet n’ont pu se rendre libres pour rencontrer mes invités.
On mesure ainsi la mauvaise conscience de ces personnes en regard de la situation créée par la France vis-à-vis des étrangers.
Il est nécessaire que le gouvernement manifeste une volonté plus forte de renforcement des relations entre la France et l’Algérie.
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Samedi, après une journée d’inaugurations institutionnelles dans quatre communes du département, Viesly, Saint-Python, Bousies et Aulnoy les Valenciennes, je suis passé saluer les militants socialistes rassemblés pour faire la fête, dans deux cantons, à Templemars, puis à Lille.
J’ai mesuré l’attente de ces camarades, attente d’un congrès constructif s’appuyant sur nos valeurs fondamentales.
J’ai senti également leur volonté de rassemblement et leurs regrets que la synthèse entre les contributions de François HOLLANDE, de Bertrand DELANOE, de Martine AUBRY et quelques autres ne se soit pas réalisée au Conseil National du 23 septembre.
Cette synthèse, indispensable pour l’avenir du Parti Socialiste, est encore possible. Les signataires des motions pourraient le dire dès maintenant.
Les militants, par leur vote du 6 novembre, doivent en exprimer l’impérieuse nécessité.
