Comme l’ensemble des Français, vous voterez dans quatre jours pour élire votre conseil municipal et, en son sein, votre maire.
Si vous habitez dans la partie sud de la ville, vous désignerez également votre représentant au Conseil Général du Nord.
Au plan municipal, plusieurs listes seront proposées aux électrices et aux électeurs. C’est normal dans une démocratie.
La particularité villeneuvoise est cependant bien connue : celui qui fut maire pendant 24 ans, qui a décidé de laisser cette responsabilité à celui qu’il a choisi, Jean-Michel STIEVENARD, maire depuis 2001, voudrait retrouver une place qu’il a volontairement abandonnée il y a 7 ans.
Comment ne pas s’interroger sur les véritables motivations de cette ambition ?
Elles ne résident pas dans une insatisfaction des habitants de Villeneuve d’Ascq quant à la manière dont la ville a été gérée, animée, développée pendant les 7 années écoulées.
Elles ne trouvent pas non plus leur fondement dans une divergence profonde sur la nature des relations établies entre un maire et ses administrés.
En fait, cette ambition n’a de causes que caractérielles. Or, l’organisation de la vie collective ne se fait pas avec de la rancune, de l’animosité, de l’amertume, voire même de la méchanceté.
C’est d’ailleurs dans ce registre qu’il excelle. Il l’a encore montré dans ses récents propos publiés et ses citations du répertoire de Charles AZNAVOUR.
On ne participe pas au développement d’une ville en ne faisant référence qu’au passé.
Vous habitez cette belle grande ville de Villeneuve d’Ascq. Certes, il reste encore à faire. Néanmoins, la vie collective y est plutôt agréable. En tous cas, elle l’est suffisamment pour que son maire, Jean-Michel STIEVENARD, soit en situation de continuer son action au lendemain de ces élections.
C’est l’analyse que je voulais vous faire partager.
Si vous habitez dans la partie sud de la ville, vous désignerez également votre représentant au Conseil Général du Nord.
Au plan municipal, plusieurs listes seront proposées aux électrices et aux électeurs. C’est normal dans une démocratie.
La particularité villeneuvoise est cependant bien connue : celui qui fut maire pendant 24 ans, qui a décidé de laisser cette responsabilité à celui qu’il a choisi, Jean-Michel STIEVENARD, maire depuis 2001, voudrait retrouver une place qu’il a volontairement abandonnée il y a 7 ans.
Comment ne pas s’interroger sur les véritables motivations de cette ambition ?
Elles ne résident pas dans une insatisfaction des habitants de Villeneuve d’Ascq quant à la manière dont la ville a été gérée, animée, développée pendant les 7 années écoulées.
Elles ne trouvent pas non plus leur fondement dans une divergence profonde sur la nature des relations établies entre un maire et ses administrés.
En fait, cette ambition n’a de causes que caractérielles. Or, l’organisation de la vie collective ne se fait pas avec de la rancune, de l’animosité, de l’amertume, voire même de la méchanceté.
C’est d’ailleurs dans ce registre qu’il excelle. Il l’a encore montré dans ses récents propos publiés et ses citations du répertoire de Charles AZNAVOUR.
On ne participe pas au développement d’une ville en ne faisant référence qu’au passé.
Vous habitez cette belle grande ville de Villeneuve d’Ascq. Certes, il reste encore à faire. Néanmoins, la vie collective y est plutôt agréable. En tous cas, elle l’est suffisamment pour que son maire, Jean-Michel STIEVENARD, soit en situation de continuer son action au lendemain de ces élections.
C’est l’analyse que je voulais vous faire partager.
