Une semaine s’est écoulée depuis que j’ai rendu publique ma décision de ne plus être candidat au Conseil Général, en mars 2011.
La presse a largement présenté mes propos, les assortissant parfois de commentaires ou de réactions de concitoyens dont je ne peux que me satisfaire.
Depuis, et c’était hier soir, les militants socialistes ont désigné celui qui sollicitera les suffrages des électeurs pour me succéder. En fait, je pense qu’il a été désigné sans problème puisqu’il était seul candidat. Les résultats ne m’ayant pas été communiqués, je ne peux faire que des suppositions.
Quand j’ai moi-même succédé à Arthur Cornette, en 1973, il s’agissait de nous mettre dans les meilleures conditions de la reconquête de la circonscription législative que la Droite nous avait ravie en profitant du climat de vive tension dans le pays de 1968.
Ce passage de témoin s’était déroulé dans un climat de confiance forte entre le maire d’Hellemmes d’alors et moi-même.
Mars 2011 préfigurera le débat national de 2012. Un an plus tard, en effet, les Socialistes et la Gauche devront, rassemblés, présenter une alternance crédible à la désastreuse politique de M. Sarkozy.
Parmi les acteurs possibles de cette période à venir, François Hollande vient de publier via Internet, vingt propositions pour la France. Je m’y retrouve pleinement.
Ces propositions s’inscrivent parfaitement dans la démarche du Parti Socialiste qui, convention après convention, met au point ce qui constituera le projet que nous devons proposer aux Françaises et aux Français pour les faire adhérer à notre volonté de gouverner la France différemment. Il y a encore beaucoup à faire.
C’est bien pour cela qu’à tous ceux qui me demandent ce que je ferai quand je ne serai plus conseiller général, je réponds sans hésiter : ma tâche n’est pas terminée. L’action politique est plus que jamais nécessaire.
La presse a largement présenté mes propos, les assortissant parfois de commentaires ou de réactions de concitoyens dont je ne peux que me satisfaire.
Depuis, et c’était hier soir, les militants socialistes ont désigné celui qui sollicitera les suffrages des électeurs pour me succéder. En fait, je pense qu’il a été désigné sans problème puisqu’il était seul candidat. Les résultats ne m’ayant pas été communiqués, je ne peux faire que des suppositions.
Quand j’ai moi-même succédé à Arthur Cornette, en 1973, il s’agissait de nous mettre dans les meilleures conditions de la reconquête de la circonscription législative que la Droite nous avait ravie en profitant du climat de vive tension dans le pays de 1968.
Ce passage de témoin s’était déroulé dans un climat de confiance forte entre le maire d’Hellemmes d’alors et moi-même.
Mars 2011 préfigurera le débat national de 2012. Un an plus tard, en effet, les Socialistes et la Gauche devront, rassemblés, présenter une alternance crédible à la désastreuse politique de M. Sarkozy.
Parmi les acteurs possibles de cette période à venir, François Hollande vient de publier via Internet, vingt propositions pour la France. Je m’y retrouve pleinement.
Ces propositions s’inscrivent parfaitement dans la démarche du Parti Socialiste qui, convention après convention, met au point ce qui constituera le projet que nous devons proposer aux Françaises et aux Français pour les faire adhérer à notre volonté de gouverner la France différemment. Il y a encore beaucoup à faire.
C’est bien pour cela qu’à tous ceux qui me demandent ce que je ferai quand je ne serai plus conseiller général, je réponds sans hésiter : ma tâche n’est pas terminée. L’action politique est plus que jamais nécessaire.
