Le Gouvernement Sarkozy (ce n'est même plus la peine de citer le nom du Premier ministre puisqu'il ne sert à rien), a fait du mépris sa méthode d'action.
Mépris vis-à-vis des pêcheurs manifestant en Bretagne et que Sarkozy vient narguer en proposant des solutions qui ne règlent en rien le problème des revenus de cette catégorie socio-professionnelle.
Mépris de la Ministre Lagarde vis-à-vis des citoyens qui sont invités à se déplacer à vélo, voire à pied compte tenu de l'augmentation du prix de l'essence.
Mépris de la droite en général et de tous ses suppôts, notamment médiatiques, à l'égard de l'opposition et du Parti Socialiste dont les contre-propositions sont systématiquement tournées en dérision, dénaturées pour décrédibiliser la force d'alternance qu'il représente.
Mépris de Sarkozy lui-même vis-à-vis de ses propres ministres et collaborateurs qui sont régulièrement rabaissés, malmenés, enfermés dans un rôle de faire-valoir.
Mépris vis-à-vis des Français dont le pouvoir d'achat est mis à mal par une gestion ultra-libérale de notre pays et qui voient avec stupéfaction son Président augmenté de 170 %.
Ce mépris frise l'insupportable. Quand va-t-il cesser ? Les réactions sociales annoncées pour les jours à venir permettront, je l'espère, de marquer un coup d'arrêt à ce comportement inacceptable.
Mépris vis-à-vis des pêcheurs manifestant en Bretagne et que Sarkozy vient narguer en proposant des solutions qui ne règlent en rien le problème des revenus de cette catégorie socio-professionnelle.
Mépris de la Ministre Lagarde vis-à-vis des citoyens qui sont invités à se déplacer à vélo, voire à pied compte tenu de l'augmentation du prix de l'essence.
Mépris de la droite en général et de tous ses suppôts, notamment médiatiques, à l'égard de l'opposition et du Parti Socialiste dont les contre-propositions sont systématiquement tournées en dérision, dénaturées pour décrédibiliser la force d'alternance qu'il représente.
Mépris de Sarkozy lui-même vis-à-vis de ses propres ministres et collaborateurs qui sont régulièrement rabaissés, malmenés, enfermés dans un rôle de faire-valoir.
Mépris vis-à-vis des Français dont le pouvoir d'achat est mis à mal par une gestion ultra-libérale de notre pays et qui voient avec stupéfaction son Président augmenté de 170 %.
Ce mépris frise l'insupportable. Quand va-t-il cesser ? Les réactions sociales annoncées pour les jours à venir permettront, je l'espère, de marquer un coup d'arrêt à ce comportement inacceptable.