L’année
2014 qui se termine porte son lot d’événements heureux ou malheureux.
Je n’en
dresserai pas la liste. Je
n’ai pas vocation à écrire une rétrospective de ce qui s’est passé au cours des
douze derniers mois.
Je constate
simplement que la crise économique mondiale continue de peser lourdement sur la France. Malheureusement ,
nous ne sommes pas les seuls. D’autres pays ont à en souffrir également.
Ses conséquences
amènent certains responsables politiques de gauche à être irrationnels.
Les uns
demandent un infléchissement de l’action du gouvernement pour apporter davantage
de pouvoir d’achat aux salariés.
Ce serait
bien entendu souhaitable si cela ne risquait pas de remettre en cause l’équilibre
fragile de notre économie. Cela viendra mais ce serait prématuré et dangereux.
Les autres
déplorent la baisse des dotations de l’Etat aux collectivités territoriales.
C’est notre
système fiscal qui est en cause. Les élus locaux sont dépendants de la volonté
du gouvernement et de sa majorité parlementaire qui vote le budget de l’Etat.
Mais, même
s’il serait souhaitable que les assemblées locales élues votent la plus grande
partie de leurs recettes sans attendre la décision étatique je ne suis pas sûr
qu’alors, dans le contexte actuel, les élus locaux se donneraient davantage de
moyens.
Là encore,
la crise pèse et il faut attendre des jours meilleurs.
Puisque nous
sommes en période de vœux, je souhaite que l’année 2015 soit l’année de la
relance.
C’est la
politique de rigueur telle qu’elle est menée aujourd’hui qui garantit, à terme,
une amélioration de la situation.
C’est sur
cette base que la gauche devrait se rassembler.
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Comme chaque
année, à pareille époque, je suspendrai la publication de ce blog jusqu’au 5
janvier prochain.
Je souhaite à toutes celles
et à tous ceux qui me lisent une bonne fête de Noël et tous mes vœux de
réussite pour l’année 2015.
