Lundi dernier, je concluais mon blog en affirmant ma détermination à tout mettre en œuvre pour assurer le changement.
Bien évidemment, d’autres acteurs bien plus décisifs doivent afficher le même objectif.
C’est le cas notamment de celles et de ceux qui envisagent de se présenter, au nom des Socialistes, à l’élection présidentielle de 2012.
Les militants socialistes ont décidé : la désignation se fera en élargissant le corps électoral à ceux qui voteront au-delà des seuls rangs du Parti Socialiste.
Par analogie avec le système américain qui, de mon point de vue, n’est pas transposable en France, on appelle cela des « Primaires ».
Deux conditions doivent être remplies selon moi si l’on veut que ces « primaires » contribuent à créer la dynamique indispensable à la victoire.
Il me semble d’abord souhaitable que cette désignation n’intervienne pas trop tard. Formulé autrement, elle doit se faire le plus tôt possible pour permettre à notre candidat ou candidate de se faire entendre par le plus grand nombre de Françaises et de Français.
Le calendrier prévu par la direction du Parti qui fixe ces primaires à l’automne 2011 présente plus d’inconvénients que d’avantages. J’étais satisfait d’entendre récemment le porte-parole Benoît HAMON dire qu’il n’excluait pas une accélération du calendrier.
Il faut ensuite que les électeurs de ces primaires aient à choisir entre des candidatures libres et individuelles.
J’imagine la déception des partisans de l’un ou de l’une si en vertu de je ne sais quel accord, le vote se transformait en une approbation ou non de cet accord.
C’est pourquoi, là encore, je pense que la responsabilité des Socialistes est grande.
Ne nous privons pas de toutes les chances de succès qui existent.
Bien évidemment, d’autres acteurs bien plus décisifs doivent afficher le même objectif.
C’est le cas notamment de celles et de ceux qui envisagent de se présenter, au nom des Socialistes, à l’élection présidentielle de 2012.
Les militants socialistes ont décidé : la désignation se fera en élargissant le corps électoral à ceux qui voteront au-delà des seuls rangs du Parti Socialiste.
Par analogie avec le système américain qui, de mon point de vue, n’est pas transposable en France, on appelle cela des « Primaires ».
Deux conditions doivent être remplies selon moi si l’on veut que ces « primaires » contribuent à créer la dynamique indispensable à la victoire.
Il me semble d’abord souhaitable que cette désignation n’intervienne pas trop tard. Formulé autrement, elle doit se faire le plus tôt possible pour permettre à notre candidat ou candidate de se faire entendre par le plus grand nombre de Françaises et de Français.
Le calendrier prévu par la direction du Parti qui fixe ces primaires à l’automne 2011 présente plus d’inconvénients que d’avantages. J’étais satisfait d’entendre récemment le porte-parole Benoît HAMON dire qu’il n’excluait pas une accélération du calendrier.
Il faut ensuite que les électeurs de ces primaires aient à choisir entre des candidatures libres et individuelles.
J’imagine la déception des partisans de l’un ou de l’une si en vertu de je ne sais quel accord, le vote se transformait en une approbation ou non de cet accord.
C’est pourquoi, là encore, je pense que la responsabilité des Socialistes est grande.
Ne nous privons pas de toutes les chances de succès qui existent.
