Le Parti Socialiste a un rendez-vous important avec son avenir.
Demain soir, au Conseil National réuni à Paris, nous passerons de la phase des contributions à celle des motions, c’est-à-dire celle des projets d’orientation politique.
Tout au long de l’été, avec d’autres dont Pierre MAUROY, j’ai appelé à un rassemblement des signataires des contributions dont les contenus étaient très semblables. Cela concernait notamment les textes présentés par François HOLLANDE, par Bertrand DELANOE et par Martine AUBRY.
Je n’ai pas été entendu à ce jour et je le regrette. Mais il n’est pas trop tard.
C’est pourquoi je dis encore à celles et à ceux qui campent sur des positions trop entières à mes yeux que le compromis et la synthèse avant débat sont souhaitables. Notre Parti est suffisamment malmené par nos adversaires et par les médias pour que nous fassions l’économie de deux mois de déchirements.
Certes, il faut « dépasser les clivages du passé » comme le préconisent certains en voulant rassembler des tenants du « oui » et des tenants du « non » au référendum européen de 2005.
Cela ne doit pas pour autant se faire au détriment d’un accord politique avec ceux qui, jusqu’à ce jour, ont été en phase pour conduire le Parti depuis onze ans, avec François HOLLANDE.
Martine, Bertrand, François et les autres, s’il vous plait, rassemblez-vous dans l’intérêt du Parti Socialiste.
Demain soir, au Conseil National réuni à Paris, nous passerons de la phase des contributions à celle des motions, c’est-à-dire celle des projets d’orientation politique.
Tout au long de l’été, avec d’autres dont Pierre MAUROY, j’ai appelé à un rassemblement des signataires des contributions dont les contenus étaient très semblables. Cela concernait notamment les textes présentés par François HOLLANDE, par Bertrand DELANOE et par Martine AUBRY.
Je n’ai pas été entendu à ce jour et je le regrette. Mais il n’est pas trop tard.
C’est pourquoi je dis encore à celles et à ceux qui campent sur des positions trop entières à mes yeux que le compromis et la synthèse avant débat sont souhaitables. Notre Parti est suffisamment malmené par nos adversaires et par les médias pour que nous fassions l’économie de deux mois de déchirements.
Certes, il faut « dépasser les clivages du passé » comme le préconisent certains en voulant rassembler des tenants du « oui » et des tenants du « non » au référendum européen de 2005.
Cela ne doit pas pour autant se faire au détriment d’un accord politique avec ceux qui, jusqu’à ce jour, ont été en phase pour conduire le Parti depuis onze ans, avec François HOLLANDE.
Martine, Bertrand, François et les autres, s’il vous plait, rassemblez-vous dans l’intérêt du Parti Socialiste.
