Les sujets touchant à la vie nationale et qui préoccupent nos concitoyens ne manquent pas.
Le chômage toujours pesant, voire insupportable, continue de faire l’objet de toute l’attention du gouvernement. Les partenaires sociaux se rencontrent aujourd’hui pour parler du pacte de responsabilité proposé par François Hollande. Ils doivent intégrer dans leurs discussions l’impérieuse nécessité de déboucher sur un compromis.
Le dialogue social voulu par le Président de la République et la Social-démocratie y gagneraient en reconnaissance.
Néanmoins, ce qui me préoccupe davantage en cette fin de semaine, ce sont les différents problèmes internationaux qui affectent notre monde.
L’Ukraine est l’un des plus « explosifs ». La Russie joue manifestement le pourrissement sous prétexte de défendre ses intérêts stratégiques, en Crimée notamment.
La communauté internationale doit faire savoir à Monsieur Poutine qu’elle n’accepterait pas une intrusion de la Russie dans les affaires ukrainiennes. La France a déjà fait connaître son point de vue empreint de fermeté.
La Centrafrique, le Mali demeurent des pays où la présence française significative contribue à un retour progressif à la normalité. Le vote quasi-unanime du Parlement autorisant le maintien des troupes françaises en Centrafrique témoigne d’une adhésion massive à la stratégie définie par François Hollande.
Le voyage de ce dernier au Nigéria, avec un passage à Bangui, démontre une nouvelle fois que la France et ses responsables politiques entendent contribuer activement au maintien de la paix dans cette partie du Monde.
La situation internationale est préoccupante. C’est une réalité indéniable. Notre avenir, dans ce domaine également, passe par un soutien sans faille au gouvernement et au Président de la République.
